Elimination durable des odeurs de cadavre, post mortem et putréfaction

Après un décès découvert tardivement dans un appartement, une maison, une chambre d’hôtel ou un local professionnel mais aussi dans un véhicule, l’odeur de cadavre (odeur post-mortem, odeur de putréfaction) peut rendre les lieux inhabitables, invendables ou impossibles à relouer.

Même après l’enlèvement du corps, le passage d’une entreprise de nettoyage et une désinfection complète, l’odeur persiste souvent : elle est liée à des molécules de décomposition très puissantes qui se sont infiltrées en profondeur dans les matériaux.

Nous intervenons précisément dans ces situations complexes pour neutraliser durablement les odeurs post-mortem, en agissant au niveau moléculaire sur l’air, les surfaces et les supports poreux, sans parfum de masquage, sans ozone et sans procédés agressifs.

Le résultat est spectaculaire : En un temps record, nous allons éliminer l’odeur de cadavre qui va être physiquement déstructurée et ne pourra plus jamais émettre d'ondulations.

enlever odeur d'un mort

Pourquoi une odeur de cadavre persiste-t-elle dans un logement après un décès, même après nettoyage et désinfection ?

Lorsqu’un décès n’est pas découvert immédiatement, le processus naturel de décomposition libère des composés organiques volatils (COV) extrêmement odorants : amines biogènes (putrescine, cadavérine), composés soufrés, thiols, acides gras volatils, etc.

Ces molécules :

  • se diffusent dans l’air intérieur,
  • s’infiltrent dans les matériaux poreux (planchers, chapes, plinthes, enduits, doublages, isolants, textiles, mobilier),
  • restent piégées dans la masse des supports, puis sont relarguées progressivement.

Même après nettoyage et désinfection, l’odeur de cadavre :

  • revient dès que le logement est refermé,
  • est souvent accentuée par la chaleur ou l’humidité,
  • peut se mêler à une odeur de renfermé dans les logements restés fermés plusieurs jours.

Tant que ces molécules ne sont pas neutralisées dans la structure des matériaux, elles continuent à diffuser dans l’air.
C’est ce qui rend les odeurs post-mortem particulièrement difficiles à traiter sans protocole spécialisé.

Pourquoi le nettoyage, la désinfection et les désodorisants ne suffisent pas à éliminer une odeur de cadavre dans un logement ?

Après un décès, plusieurs actions sont souvent mises en œuvre :

  • intervention d’une entreprise de nettoyage spécialisée pour retirer les résidus visibles et désinfecter,
  • aération prolongée,
  • utilisation de désodorisants, bougies parfumées, encens, sprays textiles,
  • diffusion d’huiles essentielles, vinaigre, bicarbonate, etc.,
  • parfois, rénovation partielle (peinture, pose de sols, doublages…).

Ces démarches sont compréhensibles, mais :

  • le nettoyage et la désinfection agissent uniquement en surface et sur la charge microbienne, pas sur les molécules odorantes incrustées,
  • les parfums, sprays et solutions « maison » masquent sans neutraliser,
  • certains travaux de rénovation réalisés avant traitement (peinture, sols collés, doublages) enferment les odeurs dans les matériaux et compliquent le traitement ultérieur.

Dans le cadre d’un décès, la désinfection est indispensable pour des raisons sanitaires, mais elle ne règle pas la question des odeurs.
Par définition, une désinfection est une opération au résultat momentané : elle réduit ou élimine les micro-organismes présents au moment où l’on intervient, sur des surfaces préalablement nettoyées.
Elle n’a pas vocation à agir de façon rémanente dans les matériaux, ni à décomposer les molécules organiques volatiles responsables de l’odeur de cadavre.

Concrètement :

  • la désinfection sécurise le logement sur le plan microbiologique,
  • mais les molécules odorantes déjà absorbées dans les sols, murs, plinthes, chapes et doublages continuent à diffuser dans l’air,
  • d’où la nécessité d’un traitement complémentaire de neutralisation moléculaire spécifique aux odeurs post-mortem.

Il n’y aura aucun résultat durable avec du vinaigre blanc, des acides, de la javel, des huiles essentielles, du bicarbonate, des bombes auto-percutantes ou des désodorisants grand public.

À titre d’exemple, l’utilisation d’une bombe auto-percutante, souvent présentée comme une solution “radicale” pour détruire les odeurs dans ce type de cas, ne fait en réalité que saturer le logement d’un parfum puissant pendant un ou deux jours.
La masse du produit retombe au sol dans un rayon d’environ 50 cm autour de la bombe, alors que l’odeur de cadavre est infiltrée partout dans les matériaux de la pièce, voire jusque dans les parties communes.

L’odeur d’origine n’est ni détruite ni neutralisée :

  • elle reste présente dans les murs, sols, plinthes et supports poreux,
  • elle se mélange à l’odeur de la bombe,
  • elle réapparaît dès que le parfum artificiel s’estompe.

Ce type de solution ne fait que masquer temporairement le problème et peut retarder la mise en place d’un véritable traitement professionnel de neutralisation moléculaire

Quel traitement professionnel pour enlever une odeur de cadavre dans un appartement ou une maison ?

Nous appliquons un protocole technique spécifiquement conçu pour les odeurs post-mortem et de putréfaction, basé sur la neutralisation moléculaire des COV incrustés dans les matériaux.

Nos traitements :

  • n’utilisent ni ozone,
  • ni parfums de masquage,
  • ni filtres HEPA présentés comme solution d’odeur.

Nous intervenons avec des formulations non toxiques et biodégradables, compatibles avec les environnements sensibles (logements, hôtels, cabinets, ERP…).

Ces traitements répondent à des protocoles d’application stricts : s’ils ne sont pas respectés, les produits peuvent devenir totalement inopérants et conduire à l’échec du traitement.
Ces formulations ne sont pas accessibles au grand public : elles sont réservées à des opérateurs formés et titulaires des habilitations adéquates.

Les produits utilisés sont normés et disposent d’une autorisation de mise sur le marché (AMM).
Ils sont homologués pour être diffusés exclusivement avec les machines et générateurs pour lesquels ils ont été conçus, afin de rester conformes aux exigences techniques et réglementaires.


- Étape 1 – Diagnostic technique et olfactif

Nous commençons par :

  • analyser le contexte (délai entre le décès et la découverte, type de logement, volume, configuration),
  • identifier les zones les plus touchées (pièce principale, couloir, escalier, palier, parties communes),
  • repérer, lorsque c’est possible, les matériaux potentiellement imprégnés (planchers, chapes, doublages, plinthes, textiles).

Ce diagnostic permet d’adapter précisément le protocole aux contraintes du site et à la nature de l’imprégnation.


- Étape 2 – Traitement de l’air et des volumes par gaz secs

Nous mettons en œuvre des traitements spatiaux par gaz secs actifs, capables de :

  • se diffuser dans l’ensemble du volume,
  • atteindre les zones difficiles d’accès (plafonds, recoins, volumes techniques),
  • agir sur les molécules volatiles responsables de l’odeur de cadavre.

L’objectif est de décomposer ces composés organiques dans l’air intérieur, plutôt que de les déplacer ou de les masquer.


- Étape 3 – Décontamination technique des surfaces et supports poreux

Nous appliquons ensuite des traitements de contact sur :

  • sols, plinthes, bas de murs, escaliers,
  • cloisons, doublages, menuiseries,
  • éléments de mobilier et textiles pouvant être sauvetés.

Nos formulations actives, non toxiques et biodégradables, sont conçues pour :

  • pénétrer dans la porosité des matériaux,
  • déstructurer les chaînes moléculaires odorantes,
  • limiter au maximum les déposes lourdes (dépose intégrale de sols ou de cloisons uniquement si nécessaire et décidée dans le cadre du chantier).


- Étape 4 – Traitement en profondeur des zones fortement imprégnées

Sur les zones les plus atteintes (planchers, chapes, angles de pièces, zones de stagnation de fluides), nous utilisons des équipements haute performance permettant de :

  • propulser sous pression des milliards de particules de formulations bio-technologiques,
  • atteindre les moindres recoins et micro-porosités,
  • traiter la masse des matériaux pour stabiliser durablement l’odeur.

Dans de nombreux cas, cette approche permet de sauver des supports qui auraient pu être considérés comme perdus (planchers, doublages, chapes…).


- Étape 5 – Ventilation technique et stabilisation

À l’issue des traitements, une phase de ventilation contrôlée est mise en œuvre pour :

  • renouveler le volume d’air,
  • évacuer les résidus de COV décomposés,
  • traiter l’atmosphère intérieure à un niveau compatible avec une occupation humaine



Comment vérifier qu’une odeur de putréfaction, de cadavre est vraiment éliminée après traitement ?

En fin d’intervention, nous procédons à un contrôle olfactif en présence des parties concernées (client, expert, gestionnaire, représentant du syndic ou du bailleur).

Selon la nature du sinistre et le contexte, nous pouvons compléter ce contrôle par des mesures instrumentales à l’aide d’appareils d’analyse de polluants transportés par l’air, par exemple :

  • détecteurs de COV (Composés Organiques Volatils),
  • détecteurs de certains gaz spécifiques (H₂S – sulfure d’hydrogène, CO – monoxyde de carbone, etc.),
  • autres appareils de mesure adaptés au contexte.

Ces mesures permettent d’objectiver la qualité de l’air obtenue et de documenter l’efficacité du traitement lorsque cela est requis par un expert, un assureur, un syndic ou un gestionnaire de patrimoine.

 

Déroulement et durée d’une intervention post-mortem

La durée d’une intervention de destruction d’odeurs post-mortem dépend de :

  • la surface et le volume à traiter,
  • la configuration du logement (appartement, maison, parties communes, caves, circulations),
  • la durée entre le décès et la découverte,
  • le niveau d’imprégnation des matériaux.

En moyenne, une intervention complète se déroule sur 3 à 5 jours, incluant :

  • la préparation et la mise en sécurité du site,
  • les phases de traitement spatial et de contact,
  • la stabilisation et la ventilation,
  • le contrôle olfactif final, éventuellement accompagné de mesures instrumentales.

Les modalités sont définies en amont, en concertation avec les parties prenantes (propriétaire, agence, syndic, expert, assurance…).

Nous intervenons pour

Décès à domicile découvert tardivement dans un appartement ou une maison, odeur de cadavre persistante dans un logement après nettoyage et désinfection,sinistre post-mortem dans un immeuble collectif (odeur dans les parties communes, paliers, cages d’escalier),odeurs de putréfaction dans une chambre d’hôtel, un gîte, une résidence services, un EHPAD,odeurs résiduelles dans des caves, locaux techniques ou annexes après décès., odeurs de cadavre, odeur de corps en décomposition, odeur de mort suite décès, ...

Nous intervenons chez

Des particuliers (propriétaires, familles, héritiers), des agences immobilières et syndics de copropriété, des bailleurs privés et institutionnels, des experts d’assurance et gestionnaires de sinistres, des collectivités, hôtels, résidences, ERP. Les particuliers et les professionnels, les sociétés et collectivités, les propriétaires, les locataires, les régies locatives, les régies immobilières, les notaires… Dans les véhicules, caplings cars, bateaux ...

Le traitement par Aéro-System est à ce jour, le plus performant et le plus abouti pour enlever les odeurs de cadavres.

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Avantages des procédés BST AERO pour enlever une odeur de cadavre

Procédés exclusifs et adaptés à chaque configuration
Résultats immédiats
Traitement sans dommage pour l’électronique, les tissus, les tableaux : pas besoin d’évacuer le mobilier
Possibilité de réintégrer les lieux très rapidement
Produits non toxiques, éco-responsables, bio-technologiques
Sans inconvénients pour les hommes et les animaux de compagnie
Témoignages de nos clients après intervention

Nous recevons avec émotion vos témoignages et ces confidences qui vous lient à notre société sont pour nous des trésors précieusement conservés. Nous vous remercions pour vos chaleureux accueils et vous assurons de notre dévouement et de notre bienveillance.

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