Beaucoup de particuliers, de gestionnaires ou d’agences pensent qu’une rénovation complète suffit à éliminer les odeurs incrustées dans un logement.
En réalité, c’est l’inverse : rénover avant un traitement de neutralisation rend souvent la situation plus difficile à corriger.
Les travaux de peinture, de pose de sols ou d’aménagement ne détruisent pas les molécules odorantes présentes dans les matériaux : ils les emprisonnent sous de nouvelles couches, les font migrer dans d’autres supports, ou provoquent des réactions chimiques secondaires avec les produits utilisés. Résultat : même après rénovation, les odeurs réapparaissent rapidement, parfois amplifiées par le mélange des composés (peinture, colle, solvants, fumée…).
❌ Ne jamais rénover avant traitement
Il ne faut jamais entreprendre de travaux de rénovation avant un traitement de neutralisation olfactive.
Peindre, recouvrir ou rénover un support imprégné :
- n’élimine pas l’odeur, mais la bloque en profondeur,
- augmente la complexité du traitement futur,
- réduit les chances de sauvetage des supports,
- et peut aggraver la diffusion olfactive une fois les surfaces chauffées ou confinées.
Les molécules de tabac, de fioul ou d’urine continuent de migrer sous la peinture ou les nouveaux revêtements, parfois en libérant des odeurs de mélange chimiques particulièrement tenaces.
Une neutralisation professionnelle BST AERO, réalisée avant tout chantier, permet d’assainir les supports et de garantir une rénovation durable.
La repeinte ne doit être envisagée qu’à titre esthétique, une fois les supports assainis.
Pourquoi les travaux ne suppriment pas les odeurs ?
Les rénovations classiques agissent uniquement sur la surface visible :
- la peinture masque temporairement les odeurs mais n’empêche pas la diffusion des COV à travers les matériaux,
- les nouveaux sols ou revêtements (parquet, stratifié, PVC, moquette…) enferment souvent les molécules odorantes dans la chape ou sous la sous-couche.Lorsqu’on marche dessus, la pression du pas chasse l’air emprisonné sous le revêtement : cet air chargé de composés odorants s’échappe latéralement, notamment sous les plinthes ou au niveau des jonctions mur-sol, provoquant une remontée d’odeur persistante,
- les travaux électriques, d’isolation ou de cloisonnement peuvent aussi déplacer ces molécules dans d’autres zones du logement, rendant leur localisation plus complexe.
Tant qu’un traitement de neutralisation moléculaire n’a pas été réalisé, les odeurs persistent, se déplacent ou réapparaissent malgré les travaux.
Odeurs de tabac et de cannabis
Les résidus de nicotine, goudrons et terpènes traversent la peinture et les enduits.
Repeindre sans traitement préalable fixe l’odeur dans la paroi et la rend plus difficile à éliminer ensuite.
La neutralisation moléculaire BST AERO détruit ces composés avant rénovation, garantissant un air stable et neutre.
Odeurs de fioul et d’hydrocarbures
Après un sinistre, les molécules pétrolières s’incrustent dans les maçonneries et planchers.
Les recouvrir sans traitement préalable enferme la pollution olfactive, ce qui complexifie la décontamination.
Le protocole BST AERO agit dans la masse des matériaux avant rénovation pour restaurer une base saine.
Odeurs d’urine animale
Les molécules d’ammoniac et d’urée s’infiltrent sous les plinthes et les planchers.
Recouvrir sans traitement ne fait que piéger l’odeur : elle réapparaît dès que la température ou l’humidité varient.
BST AERO localise les zones contaminées et les traite en profondeur avant tout remplacement de revêtement.
Odeurs post-mortem et putréfaction
Ces odeurs extrêmes nécessitent un traitement complet avant toute rénovation.
Repeindre ou recouvrir les surfaces sans neutralisation préalable diffuse la contamination dans l’ensemble du volume.
BST AERO applique un protocole combinant bio-oxydation et neutralisation moléculaire, assurant une désactivation totale des composés organiques avant remise en état.
Odeurs d’humidité et de moisissures
Repeindre un mur humide ou moisi ne supprime pas les métabolites fongiques responsables des odeurs.
Ces composés continuent à se diffuser à travers les matériaux neufs.
Le traitement BST AERO associe neutralisation moléculaire et assainissement de l’air intérieur, garantissant une stabilisation durable avant rénovation.
La rénovation ne doit jamais précéder le traitementRénovation ne signifie pas décontamination.
Avant tout chantier, il est indispensable de procéder à la neutralisation moléculaire pour éliminer les odeurs à la source.
Rénover avant traitement, c’est aggraver la contamination, ralentir la stabilisation olfactive et rendre la décontamination plus coûteuse et complexe.
Le protocole BST AERO constitue donc la première étape nécessaire avant toute rénovation, garantissant une restauration saine, durable et conforme aux exigences olfactives et sanitaires.