Une
odeur de cadavre (odeur de mort, odeur de putréfaction) dans un appartement ou une maison n’est jamais anodine.
Elle traduit la présence de
molécules organiques volatiles issues de la décomposition (amines, composés soufrés, acides organiques…) et, selon le contexte, de
micro-organismes et résidus biologiques.
Sur le plan sanitaire, cette situation peut provoquer :
- un fort inconfort : nausées, maux de tête, irritation des yeux et des voies respiratoires,
- une intolérance totale à la présence dans le logement, avec stress et impossibilité d’y vivre normalement,
- un risque accru pour les personnes fragiles (enfants, personnes âgées, malades chroniques, personnes immunodéprimées).
Même après le passage d’une entreprise de nettoyage,
si l’odeur de cadavre persiste, cela signifie que les molécules de putréfaction sont encore présentes dans les murs, sols, plinthes, matériaux poreux : l’air intérieur reste
dégradé et instable.Pour retrouver un logement réellement habitable, il est nécessaire de compléter la désinfection par un
traitement professionnel de neutralisation moléculaire agissant au cœur des matériaux.
Ce type d’intervention permet de
décomposer les composés organiques responsables de l’odeur, de stabiliser la qualité de l’air et de sécuriser durablement l’occupation des lieux.
Tant que l’odeur de cadavre, de mort ou de putréfaction demeure perceptible, le logement ne doit pas être considéré comme sain.